dimanche 5 juin 2011

Le peintre et ses muses


Me voici donc revenue de mes pérégrinations grenobloises.

J’ai pu faire vrombir à toute berzingue ma BM dans les montagnes et aussi me gaver de ravioles, de mursons et de gâteaux de chez Zugmeyer.

Souvenirs !



Lorsque je travaillais à Grenoble, j’habitais à quelques pas du musée Hébert, à « la Tronche » très précisément. C’est un endroit magnifique, curieusement peu connu, même des Grenoblois, avec un parc splendide et une villa très belle. Je m’y rendais évidemment très souvent.


Depuis la fenêtre de mon appartement, j’avais aussi une vue exaltante sur le Massif de Belledonne.


Je vous livre ici quelques images de ce qui m’entourait immédiatement.



Quant au peintre Ernest Hébert, il est très fin de siècle. Du 19ème siècle, s’entend.

Je crois que presque plus personne ne le connaît et il est maintenant rangé dans la catégorie des peintres bourgeois et archi-classiques.





C’est sûr ! Mais je pense que c’est quand même de la très bonne peinture et c’est malgré tout troublant et émouvant.

L’émotion esthétique, ça n’est pas seulement lié à des formes innovantes.




Voilà ! C’est comme ça que j’ai longuement fréquenté le peintre Ernest Hébert, ce qui a peut-être décidé de ma vocation de vampire.



Photographies de Carmilla Le Golem : ma fenêtre à Grenoble et le parc Hébert

Peintures de Ernest Hébert

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